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Quelques jours à d'autres périodes, c’était son tour de m’appeler. Lui aussi était perdu, entaillé par le concept que l’amour de sa carrière s’éloignait. Il m’a parlé de ses regrets, de tout ce qu’il n’avait pas évident dire, de cette épouvante réguliere de ne pas être à la hauteur. Je lui ai expliqué ce que j'avais vu, ce qu’il refusait de s’avouer : elle avait encore besoin de lui, mais elle ne pouvait pas le porter sienne seule. Ils devaient reconstruire ensemble, pas chacun de leur côté. Cela lui a proposé une autre vitesse. Ce soir-là, la consultation a duré plus longuement que d’habitude. Les contenus se sont déliés, les non-dits sont devenus des ponts entre leurs réconciliation. Au cours du temps, leurs appels se sont espacés. Ils ne cherchaient plus de ressentis immédiates, comme lors de ces premières consultations où l'urgence les avait poussés à faire appel de l'assistance sur le web, jour et nuit. Ils avaient commencé à se retrouver, délicatement. Leurs rencontres avec moi devenaient moins inquiètes, plus sereines. Ils apprenaient à reconstruire leur lien, à endurer de nouveau à s’aimer sans laisser les controverses bouleverser ce qui leur restait. Il y a eu cette dernière consultation, un soir de printemps. Ils m'ont appelé ensemble, pour la première fois sur des mois. Leur élocution, les années passées chargée d'inquiétudes, était à présent plus calme, apaisée. Ils avaient traversé cette tornade, non pas sans heurts, mais avec la garantie qu'ils avaient l'occasion de encore évoluer avec les autres. Ce soir-là, ils m’ont remercié pour les périodes derrière nous à les diriger, pour les déclarations qui avaient rutilant leurs hésitations lorsque ils n’y croyaient plus. Mais en réalité, c’est eux qui avaient fait le travail. Mon rôle n’avait été que de leur démontrer ce qu’ils portaient en eux. Ils n’ont plus eu besoin de revenir me téléphoner à ensuite. Leur amour avait identifié une autre forme, une robustesse qu’ils n'avaient jamais imaginée possible au début de nos conversations. Je savais que leur chemin se trouve être encore semé de défis, mais ils avaient appris à les attaquer ensemble, et c’était tout ce qui comptait. Les mois ont passé, et le chut de leurs appels persistait. Cela ne m'inquiétait pas, car je sentais de plus de moi que c'était un bon signe, un signe que leur chemin avait pu trouver un nouvel équilibre. Parfois, dans la tranquillité de la nuit, je repensais à eux. Ils étaient devenus, sans le sentir, une sorte de empreinte identitaire pour toutes ces âmes que je guidais. Ce couple, autrefois si déchiré par les controverses et les incertitudes, avait montré que l'homme de sa vie, même dans ses étapes les plus fragiles, pouvait renaître quand on vivait le courage de regarder au-delà des apparences immédiates. Puis, un soir estival, je reçus un énoncé original. Elle avait repris contact, cette fois-ci ,de même avec l'angoisse qui marquait autrefois chacune de ses mots, mais avec une légèreté que Découvrez ici je ne lui connaissais pas. Elle me racontait qu'ils allaient bien, qu'ils avaient fait des projets, et qu'ils trouvaient dorénavant en commun. Elle disait qu'ils avaient appris à se soigner, à se donner de l'espace sans se perdre de vue. Il y avait, dans chaque mot, une relaxation nouvelle, une vitesse tranquille.

Elle m'expliqua que la vie n'était pas devenue subito agréable, evidemment. Ils avaient encore leurs phases de doute, des petites débat, tels que tous les couples, mais la différence résidait dans leur manière de contrôler ces rencontres. Ils ne fuyaient plus. Ils se parlaient, avec une sincérité qu'ils avaient longuement transe. Les oracles que j'avais tirées pour ces clients, et les informations qui s'étaient manifestées lors de nos consultations, s'étaient effectuées, non pas dans une beauté tout de suite, mais dans un process lent de reconstruction. Je la félicitai, non sans une grande les facteurs psychiques. il s'agissait du peu fréquent d'obtenir des nouvelles après tant de temps, et surtout exceptionnel d'éclairer que tout allait bien. Elle me confia qu'ils allaient prochainement partir pour un nouveau voyage, cette fois pour marquer ce qu'ils avaient surmonté. Ce voyage, abordable et bien moins copieusement que votre 1er, marquait un prenant dans leur histoire. Ils ne fuyaient plus pour leur future, ils allaient de l’avant, main dans la main. Après cet permutation, le motus est dividende. Pas un silence lourd, mais celui qui se déclenche quand les âmes ont identifié la paix, quand il n'est plus indispensable de trouver des ressentis de l'extérieur parce qu'on a appris à être en harmonie avec celles qui murmurent en soi. Les saisons ont continué de effranger. plusieurs relation, d'autres personnages en quête de données ont dépassé le seuil de ma vie, originaire choisir des éclairages, des conseils. Mais leur histoire restait gravée, parmi tant d'autres. Parfois, je repensais à ces longues nuits où je les guidais, à ces silences partagés au bout du fil, ces moments où tout semblait s'écrouler avant de progressivement se reconstruire. Leur parcours m'a mobilisé, tels que comme de coutume, que l’amour est une substance rapide, qu'il se transforme, qu'il se renouvelle, et qu'il ne doit jamais être identifiés à établie. Et bien que leurs appels se soient tus, je savais, en somme de moi, que leur histoire continuait, loin des consultations, éloigné des cartes. Ils étaient leur vie, en commun, forts de tout ce qu’ils avaient appris, et c’était tout ce que j’avais espéré pour ces volontaires.